
vendredi 25 janvier 2008
jeudi 24 janvier 2008
Langue disparue
L'Eyak, une des langues utilisées par les Indiens d'Alaska, s'est éteinte avec la mort de la dernière personne qui la parlait, une femme de 89 ans, a indiqué la presse locale.

Marie Smith Jones, activiste des droits des indigènes, est morte paisiblement dans son sommeil lundi à son domicile, selon le journal Anchorage Daily News.
Elle représentait "un exemple frappant du problème de l'extinction massive des langues", a affirmé au journal un linguiste du Centre des langues indigènes d'Alaska, Michael Krauss.
"Elle comprenait, comme seul quelqu'un dans sa position le pouvait, ce que signifiait être le dernier de son genre. Et elle était vraiment seule, en tant que dernière locutrice de l'Eyak", a-t-il ajouté.
Michael E. Krauss, linguiste de renom, était le seul à pouvoir parler l'Eyak avec Marie Smith-Jones. Son étude de la langue Eyak a commencé lors de la rédaction de sa thèse. Il a ensuite consacré sa vie à la recherche sur les langues natives d'Alaska et plus particulièrement sur la langue Eyak.

L'Eyak était une langue na-dené autrefois parlée par une importante population établie au sud de l'Alaska, autour de la Copper River et dans la région du lac Eyak.

Marie Smith Jones, activiste des droits des indigènes, est morte paisiblement dans son sommeil lundi à son domicile, selon le journal Anchorage Daily News.
Elle représentait "un exemple frappant du problème de l'extinction massive des langues", a affirmé au journal un linguiste du Centre des langues indigènes d'Alaska, Michael Krauss.
"Elle comprenait, comme seul quelqu'un dans sa position le pouvait, ce que signifiait être le dernier de son genre. Et elle était vraiment seule, en tant que dernière locutrice de l'Eyak", a-t-il ajouté.
Michael E. Krauss, linguiste de renom, était le seul à pouvoir parler l'Eyak avec Marie Smith-Jones. Son étude de la langue Eyak a commencé lors de la rédaction de sa thèse. Il a ensuite consacré sa vie à la recherche sur les langues natives d'Alaska et plus particulièrement sur la langue Eyak.
L'Eyak était une langue na-dené autrefois parlée par une importante population établie au sud de l'Alaska, autour de la Copper River et dans la région du lac Eyak.
mardi 22 janvier 2008
Sacré bestiole!
samedi 19 janvier 2008
Bon vol!!!
C'est fort!!!!
La technologie du pliage de papier parait assez simple...
Mais par contre j'aimerais bien connaître le modèle de caméra qui offre un si bon zoom.
La technologie du pliage de papier parait assez simple...
Mais par contre j'aimerais bien connaître le modèle de caméra qui offre un si bon zoom.
vendredi 18 janvier 2008
jeudi 17 janvier 2008
Steve Wonder
La keynote nous a appris de nombreux superlatifs. Je pense réellement que Steve gagnerait à faire plus court. Genre, comme ça:
Bien vu!!!! Il manque juste une citation, en fait ma citation favorite du grand Steve: "It's cool! It's so cool!"
Allez, vivement la suite.....
Bien vu!!!! Il manque juste une citation, en fait ma citation favorite du grand Steve: "It's cool! It's so cool!"
Allez, vivement la suite.....
lundi 14 janvier 2008
chat et chiens
samedi 12 janvier 2008
jeudi 10 janvier 2008
Petit coup de pub!
Si vous souhaitez faire vos recherches en contribuant au développement durable et en soutenant des associations, essayez donc:

En cliquant ICI

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mercredi 9 janvier 2008
Chine Nouvelle et nouveaux cochons....
L'agence de presse chinoise Chine Nouvelle (Xinhua) nous apprend qu'une truie vert fluorescent a donné naissance dans le nord-est de la Chine à deux porcelets partageant les caractéristiques transgéniques de leur mère.

"La gueule, les pieds et la langue des deux porcelets luisent d'ultraviolets verts, ce qui démontre que la technologie d'élevage de cochons transgéniques par transfert de noyau cellulaire est parvenue à maturité", a déclaré Liu Zhonghua, professeur à l'Université de l'Agriculture du Nord-Est à Harbin.
La truie fait partie de trois cochons vert fluorescent élevés successivement par une équipe de chercheurs dirigée par Liu en décembre 2006 et qui ont injecté une protéine vert fluorescent dans les embryons de cochons.
Elle a mis bas onze gorets lundi mais, à ce jour, seuls deux d'entre eux ont hérité du caractère fluorescent, précise Xinhua.
En 2006, des chercheurs taiwanais avaient déjà créé des cochons lumineux: L'ADN de méduses avait été inséré chez 8 truies et 4 petits cochons étaient nés. A la lumière du jour, les yeux, dents et ongles des mutants étaient teintés de vert. Dans l'obscurité, une faible lumière verdatre faisait briller les cochons.

Une tranche de jambon fluo vous tente????

"La gueule, les pieds et la langue des deux porcelets luisent d'ultraviolets verts, ce qui démontre que la technologie d'élevage de cochons transgéniques par transfert de noyau cellulaire est parvenue à maturité", a déclaré Liu Zhonghua, professeur à l'Université de l'Agriculture du Nord-Est à Harbin.
La truie fait partie de trois cochons vert fluorescent élevés successivement par une équipe de chercheurs dirigée par Liu en décembre 2006 et qui ont injecté une protéine vert fluorescent dans les embryons de cochons.
Elle a mis bas onze gorets lundi mais, à ce jour, seuls deux d'entre eux ont hérité du caractère fluorescent, précise Xinhua.
En 2006, des chercheurs taiwanais avaient déjà créé des cochons lumineux: L'ADN de méduses avait été inséré chez 8 truies et 4 petits cochons étaient nés. A la lumière du jour, les yeux, dents et ongles des mutants étaient teintés de vert. Dans l'obscurité, une faible lumière verdatre faisait briller les cochons.

Une tranche de jambon fluo vous tente????
lundi 7 janvier 2008
Pet de Kangourou
Lu ce matin sur le site d'Univers Nature que les Australiens, qui travaillent depuis quelques années sur la réduction des pets et rots des ruminants, à l’origine d’importantes émissions de méthane, un gaz à effet de serre 23 fois plus actif pour le réchauffement de la planète que le CO2 sont une nouvelle piste pour parvenir à leurs fins.
Après avoir envisagé de créer un vaccin contre les bactéries intestinales à l’origine de cette production de méthane chez les ruminants, des scientifiques tentent dorénavant d’isoler des bactéries, propres aux kangourous, qui éviteraient à ces animaux d’émettre du méthane. La digestion des kangourous ne produit presque pas de méthane à cause de la présence de bactéries acétogènes sources de gaz acides sans risque pour l’effet de serre et donc le changement climatique.

L’enjeu est de taille, puisque selon Athol Klieve, un des chercheurs les plus en pointe sur ce sujet, les flatulences des ruminants seraient à l’origine de 14 % des gaz à effet de serre émis par l’Australie. Par ailleurs, la consommation de viande étant en forte augmentation, avec la demande croissante de pays en développement comme la Chine, une réduction des 2/3 des émissions de méthane du secteur de l’élevage planétaire pourrait avoir un effet dans la lutte contre le changement climatique.
Mais le chemin à parcourir est encore long car l’isolement d’un certain nombre de bactéries acétogènes chez le kangourou devrait prendre encore 3 ans. Cette étape franchie, une nouvelle phase de recherche s’ouvrira, avec l’élaboration d’une technique pour la transplanter dans le tube digestif des vaches et des moutons. Ce n’est qu’à ce moment que nous saurons si ces bactéries peuvent y vivre, s’y reproduire et, au final, réussir à s’imposer aux micro-organismes méthanogènes…
Après avoir envisagé de créer un vaccin contre les bactéries intestinales à l’origine de cette production de méthane chez les ruminants, des scientifiques tentent dorénavant d’isoler des bactéries, propres aux kangourous, qui éviteraient à ces animaux d’émettre du méthane. La digestion des kangourous ne produit presque pas de méthane à cause de la présence de bactéries acétogènes sources de gaz acides sans risque pour l’effet de serre et donc le changement climatique.

L’enjeu est de taille, puisque selon Athol Klieve, un des chercheurs les plus en pointe sur ce sujet, les flatulences des ruminants seraient à l’origine de 14 % des gaz à effet de serre émis par l’Australie. Par ailleurs, la consommation de viande étant en forte augmentation, avec la demande croissante de pays en développement comme la Chine, une réduction des 2/3 des émissions de méthane du secteur de l’élevage planétaire pourrait avoir un effet dans la lutte contre le changement climatique.
Mais le chemin à parcourir est encore long car l’isolement d’un certain nombre de bactéries acétogènes chez le kangourou devrait prendre encore 3 ans. Cette étape franchie, une nouvelle phase de recherche s’ouvrira, avec l’élaboration d’une technique pour la transplanter dans le tube digestif des vaches et des moutons. Ce n’est qu’à ce moment que nous saurons si ces bactéries peuvent y vivre, s’y reproduire et, au final, réussir à s’imposer aux micro-organismes méthanogènes…

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dimanche 6 janvier 2008
Faim du dimanche...
Une petite faim??? Suivons l'équipe de la télévision australienne ABC dans sa ballade gastronomique pékinoise...
vendredi 4 janvier 2008
jeudi 20 décembre 2007
mardi 18 décembre 2007
lundi 17 décembre 2007
jeudi 13 décembre 2007
Enfin des preuves!!!
Et oui, Saddam préparait bien des armes de destruction massive!!!
La preuve que Bush cherchait depuis longtemps est là:
La preuve que Bush cherchait depuis longtemps est là:
mercredi 12 décembre 2007
mardi 11 décembre 2007
Découverte!
Filmé pour la première fois dans la nature, le Jerboa à longues oreilles est un petit rat sauteur de la famille des Dipodidae. Un kangourou miniature, en quelque sorte..
Ces sympathiques rongeurs apparus il y a 8 millions d'années dans les plaines arides de ce qui est aujourd'hui le Turkmenistan, le Kazakhstan et la Mongolie, se sont ensuite répandus en Europe et en Afrique du nord où on les trouve toujours.
Ce petit film diffusé par la BBC a été tourné dans le désert de Gobi (Mongolie) par le Docteur Jonathan Baillie, un scientifique membre de la Zoological Society of London (ZSL).
Le jour ou Nelson en aura assez des Octodons, voila une alternative intéressante... (mais ne pas oublier que ces bestioles sont protégées et inscrites comme menacées sur les listes de l'organisme de protection mondiale de la faune, l'UICN)
Ces sympathiques rongeurs apparus il y a 8 millions d'années dans les plaines arides de ce qui est aujourd'hui le Turkmenistan, le Kazakhstan et la Mongolie, se sont ensuite répandus en Europe et en Afrique du nord où on les trouve toujours.
Ce petit film diffusé par la BBC a été tourné dans le désert de Gobi (Mongolie) par le Docteur Jonathan Baillie, un scientifique membre de la Zoological Society of London (ZSL).
Le jour ou Nelson en aura assez des Octodons, voila une alternative intéressante... (mais ne pas oublier que ces bestioles sont protégées et inscrites comme menacées sur les listes de l'organisme de protection mondiale de la faune, l'UICN)
samedi 8 décembre 2007
mercredi 5 décembre 2007
mardi 4 décembre 2007
Ca se confirme....
Les jeunes chimpanzés sont doués d'une mémoire extraordinaire, nettement meilleure que celle des humains, selon une étude de chercheurs japonais publiée mardi dans le journal américain Current Biology.
L'expérience, imaginée par des scientifiques de l'Université de Kyoto, a été réalisée plusieurs années durant sur neuf chimpanzés (trois femelles et leurs petits nés en 2000), et sur neuf humains étudiants à l'université. Les singes avaient préalablement appris à compter de un à neuf, et à remettre ces chiffres dans l'ordre lorsqu'ils apparaissaient de façon aléatoire.

Le test a consisté à montrer, pendant quelques fractions de seconde et dans le désordre, les chiffres 1 à 9 sur un écran d'ordinateur. Les chimpanzés et les humains devaient ensuite reconstituer l'ordre dans lequel ces chiffres étaient apparus.
Les performances jeunes chimpanzés, à la fois en termes d'exactitude et de vitesse, ont été nettement meilleures que celles des étudiants, même lorsque l'expérience était interrompue par des bruits stridents, affirme l'étude.
"La capacité du cerveau est limitée. Peut-être que les humains ont renoncé à leurs anciennes compétences pour en acquérir de nouvelles, comme le langage", a expliqué le professeur Matsuzawa.
L'expérience, imaginée par des scientifiques de l'Université de Kyoto, a été réalisée plusieurs années durant sur neuf chimpanzés (trois femelles et leurs petits nés en 2000), et sur neuf humains étudiants à l'université. Les singes avaient préalablement appris à compter de un à neuf, et à remettre ces chiffres dans l'ordre lorsqu'ils apparaissaient de façon aléatoire.

Le test a consisté à montrer, pendant quelques fractions de seconde et dans le désordre, les chiffres 1 à 9 sur un écran d'ordinateur. Les chimpanzés et les humains devaient ensuite reconstituer l'ordre dans lequel ces chiffres étaient apparus.
Les performances jeunes chimpanzés, à la fois en termes d'exactitude et de vitesse, ont été nettement meilleures que celles des étudiants, même lorsque l'expérience était interrompue par des bruits stridents, affirme l'étude.
"La capacité du cerveau est limitée. Peut-être que les humains ont renoncé à leurs anciennes compétences pour en acquérir de nouvelles, comme le langage", a expliqué le professeur Matsuzawa.
mercredi 28 novembre 2007
mardi 27 novembre 2007
samedi 24 novembre 2007
petit jeu du samedi....
Ca s'appelle: Peignez vous-même comme Pollock!!!!
Cliquez sur votre souris pour changer de couleur....
murs murs
Petites pensées de week-end: comment mettre fin à la prolifération des murs?
Au moment de la "chute" du Mur de Berlin j'avais imaginé que cet évènement marquait la fin de ce genre d'ouvrage...

Mais depuis, nous avons pu assister à l'édification du "Mur de Palestine"

et du "Mur du Mexique".

Ce dernier, destiné à empêcher le passage des immigrants du sud aux Etats-Unis provoque l'inquiétude des écologistes, des élus locaux et des tribus indiennes qui estiment dire trop peu d'attention est accordée aux conséquences écologiques du mur. D'après eux, l'ouvrage va perturber l'habitat du jaguar, des hiboux pygmées et d'autre faune sensible. Le mur risque aussi d'encourager les immigrants illégaux à utiliser des passages dans des zones plus reculés, et plus fragiles écologiquement.
Tous ces passionnés des murailles seraient bien avisés de souvenir que les plus grands murs n'ont jamais réussi à empêcher les invasions des barbares.....
Au moment de la "chute" du Mur de Berlin j'avais imaginé que cet évènement marquait la fin de ce genre d'ouvrage...
Mais depuis, nous avons pu assister à l'édification du "Mur de Palestine"

et du "Mur du Mexique".

Ce dernier, destiné à empêcher le passage des immigrants du sud aux Etats-Unis provoque l'inquiétude des écologistes, des élus locaux et des tribus indiennes qui estiment dire trop peu d'attention est accordée aux conséquences écologiques du mur. D'après eux, l'ouvrage va perturber l'habitat du jaguar, des hiboux pygmées et d'autre faune sensible. Le mur risque aussi d'encourager les immigrants illégaux à utiliser des passages dans des zones plus reculés, et plus fragiles écologiquement.
Tous ces passionnés des murailles seraient bien avisés de souvenir que les plus grands murs n'ont jamais réussi à empêcher les invasions des barbares.....

vendredi 23 novembre 2007
mercredi 21 novembre 2007
lundi 19 novembre 2007
Pour mes enfants, le discours du chef Seattle....
Voila. Je souhaite que mes enfants lisent cela. Une réponse que le Chef Seattle des tribus amérindiennes Suquamish et Duwamish prononça en 1854 pour répondre au gouverneur Isaac M. Stevens.

L'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères...
Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d'acheter notre terre.
Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu'il n'a pas grand besoin de notre amitié en retour.
Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l'homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre.
Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
Si nous ne sommes pas propriétaire de la fraîcheur de l'air, ni du miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous l'acheter ?
Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l'homme rouge. Les morts des hommes blancs, lorsqu'ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n'oublient jamais la beautée de cette terre, car elle est la mère de l'homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.
Les fleurs parfumées sont nos soeurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l'homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.
Ainsi, lorsqu'il nous demande d'acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. Le Grand Chef nous a assuré qu'il nous réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu'il serait notre père, et nous ses enfants.
Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre pour nous, est sacrée.

L'eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n'est pas de l'eau seulement; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vendonc notre terre, vous devez vous souvenir qu'elle est sacrée, et vous devrez l'enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.
Les fleuves sont nos frères: ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont vos frères et les vôtres, et l'enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.
L'homme rouge a toujours reculé devant l'homme blanc, comme la brume des montagnes s'enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte, ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui un lopin de terre en vaut un autre, car il est l'étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. La sol n'est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l'a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s'en soucie pas. Les tombes de ses pères et le patrimoine de ses enfants sont oubliés. Il traite la terre, sa mère, et le ciel, son frère, comme des objets qu'on achète, qu'on pille, qu'on vend, comme des moutons ou des perles brillantes. Son appétit va engloutir la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.
Je ne sais. Nos voies diffèrent de vos voies. La vue de vos villes blessent les yeux de l'homme rouge. Peut-être parce que l'homme rouge est un sauvage qui ne comprends pas.
Il n'y a pas de lieu calme dans les villes de l'homme blanc, pas de place où entendre les feuilles qui se déroulent, au printemps, ou le bruissement des ailes d'insectes. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage qui ne comprend pas. Le fracas qui règne seul insulte l'oreille. Et à quoi bon vivre, si l'homme ne peut écouter le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour de la mare ? Je suis un homme rouge, et je ne comprends pas. L'Indien préfère le doux bruit du vent effleurant la surface d'un étang, et le parfum du vent, lavé par la pluie de midi ou chargé de la senteur des pins.
L'air est précieux à l'homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle; les bêtes, les arbres, l'homme, tous participent au même souffle. L'homme blanc paraît indifférent à l'air qu'il respire. Comme un homme à l'agonie depuis des jours, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vendons notre terre, vous devez vous souvenir que l'air nous est précieux, qu'à tous les êtres qu'il fait vivre il fait partager son esprit. Le vent qui a donné son premier souffle à notre aïeul reçoit aussi son dernier soupir. Et le vent doit aussi donner à nos enfants l'esprit de la vie. Si nous vendons notre terre, vous devez la conserver comme un lieu à part et sacré, où l'homme blanc lui-même puisse goûter la douceur du vent parfumé par les fleurs des prairies.

Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre. Si nous décidons de l'accepter, ce sera à une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et ne comprends pas les autres usages. J'ai vu mille buffles pourrir sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train en marche. Je suis un sauvage qui ne comprends pas que le cheval de fer fumant puisse être plus important que le buffle, lui que nous tuons que pour rester en vie.
Qu'est l'homme sans les bêtes? Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait de grande solitude de l'esprit. Car tout ce qui arrive aux bêtes ne tarde pas à arriver à l'homme. Toutes choses sont liées. Vous devez enseigner à vos enfants sur la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfant que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: toutes choses sont liées comme par le sang qui unit une même famille.
Toutes choses sont liées.
Tout ce qui arrive à la terre arrive au fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie. Il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même.
Mais nous allons considérer votre offre d'aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l'écart et en paix. Qu'importe où nous passerons le restant de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leurs corps de nourritures douces et de boissons fortes.
Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d'un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d'espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d'hommes pas davantage. Les hommes viennent et s'en vont, comme les vagues de la mer.
Même l'homme blanc, dont Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout; nous verrons. Mais nous savons une chose que l'homme blanc découvrira peut-être un jour: notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd'hui que vous le posséder comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l'homme rouge et pour l'homme blanc.
La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les Blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets.
Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance de Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l'homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère; nous ne comprenons pas, lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l'odeur d'hommes nombreux, l'aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.
Où est le fourré . Disparu. Où est l'aigle ? Il n'est plus. Qu'est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C'est finir de vivre et se mettre à survivre.
Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu'il est au moment où vous le prenez. Et de toute vos forces, de toute votre pensée, de tout votre coeur, préservez-le pour vos enfants, et aimez-le comme Dieu nous aime tous.
Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d'acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l'ombre d'un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du coeur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l'avons aimée. Prenez soin d'elle comme nous en avons pris soin.
Nous savons une choses: notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L'homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être somme-nous tous frères.
Nous verrons.

L'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères...
Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d'acheter notre terre.
Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu'il n'a pas grand besoin de notre amitié en retour.
Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l'homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre.
Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
Si nous ne sommes pas propriétaire de la fraîcheur de l'air, ni du miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous l'acheter ?
Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l'homme rouge. Les morts des hommes blancs, lorsqu'ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n'oublient jamais la beautée de cette terre, car elle est la mère de l'homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.
Les fleurs parfumées sont nos soeurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l'homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.
Ainsi, lorsqu'il nous demande d'acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. Le Grand Chef nous a assuré qu'il nous réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu'il serait notre père, et nous ses enfants.
Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre pour nous, est sacrée.

L'eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n'est pas de l'eau seulement; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vendonc notre terre, vous devez vous souvenir qu'elle est sacrée, et vous devrez l'enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.
Les fleuves sont nos frères: ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont vos frères et les vôtres, et l'enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.
L'homme rouge a toujours reculé devant l'homme blanc, comme la brume des montagnes s'enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte, ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui un lopin de terre en vaut un autre, car il est l'étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. La sol n'est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l'a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s'en soucie pas. Les tombes de ses pères et le patrimoine de ses enfants sont oubliés. Il traite la terre, sa mère, et le ciel, son frère, comme des objets qu'on achète, qu'on pille, qu'on vend, comme des moutons ou des perles brillantes. Son appétit va engloutir la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.
Je ne sais. Nos voies diffèrent de vos voies. La vue de vos villes blessent les yeux de l'homme rouge. Peut-être parce que l'homme rouge est un sauvage qui ne comprends pas.
Il n'y a pas de lieu calme dans les villes de l'homme blanc, pas de place où entendre les feuilles qui se déroulent, au printemps, ou le bruissement des ailes d'insectes. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage qui ne comprend pas. Le fracas qui règne seul insulte l'oreille. Et à quoi bon vivre, si l'homme ne peut écouter le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour de la mare ? Je suis un homme rouge, et je ne comprends pas. L'Indien préfère le doux bruit du vent effleurant la surface d'un étang, et le parfum du vent, lavé par la pluie de midi ou chargé de la senteur des pins.
L'air est précieux à l'homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle; les bêtes, les arbres, l'homme, tous participent au même souffle. L'homme blanc paraît indifférent à l'air qu'il respire. Comme un homme à l'agonie depuis des jours, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vendons notre terre, vous devez vous souvenir que l'air nous est précieux, qu'à tous les êtres qu'il fait vivre il fait partager son esprit. Le vent qui a donné son premier souffle à notre aïeul reçoit aussi son dernier soupir. Et le vent doit aussi donner à nos enfants l'esprit de la vie. Si nous vendons notre terre, vous devez la conserver comme un lieu à part et sacré, où l'homme blanc lui-même puisse goûter la douceur du vent parfumé par les fleurs des prairies.

Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre. Si nous décidons de l'accepter, ce sera à une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et ne comprends pas les autres usages. J'ai vu mille buffles pourrir sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train en marche. Je suis un sauvage qui ne comprends pas que le cheval de fer fumant puisse être plus important que le buffle, lui que nous tuons que pour rester en vie.
Qu'est l'homme sans les bêtes? Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait de grande solitude de l'esprit. Car tout ce qui arrive aux bêtes ne tarde pas à arriver à l'homme. Toutes choses sont liées. Vous devez enseigner à vos enfants sur la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfant que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: toutes choses sont liées comme par le sang qui unit une même famille.
Toutes choses sont liées.
Tout ce qui arrive à la terre arrive au fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie. Il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même.
Mais nous allons considérer votre offre d'aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l'écart et en paix. Qu'importe où nous passerons le restant de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leurs corps de nourritures douces et de boissons fortes.
Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d'un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d'espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d'hommes pas davantage. Les hommes viennent et s'en vont, comme les vagues de la mer.
Même l'homme blanc, dont Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout; nous verrons. Mais nous savons une chose que l'homme blanc découvrira peut-être un jour: notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd'hui que vous le posséder comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l'homme rouge et pour l'homme blanc.
La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les Blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets.
Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance de Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l'homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère; nous ne comprenons pas, lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l'odeur d'hommes nombreux, l'aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.
Où est le fourré . Disparu. Où est l'aigle ? Il n'est plus. Qu'est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C'est finir de vivre et se mettre à survivre.
Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu'il est au moment où vous le prenez. Et de toute vos forces, de toute votre pensée, de tout votre coeur, préservez-le pour vos enfants, et aimez-le comme Dieu nous aime tous.
Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d'acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l'ombre d'un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du coeur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l'avons aimée. Prenez soin d'elle comme nous en avons pris soin.
Nous savons une choses: notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L'homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être somme-nous tous frères.
Nous verrons.
jeudi 15 novembre 2007
Superbe
Découverte par hasard, une page d'un blog consacré aux baleines
C'est le blog Fogozanos d'Antonio Martínez Ron un journaliste et écrivain espagnol.
Consacré aux sciences et à l'environnement, on peut notamment y voir cette vidéo impressionnante:
ainsi que de nombreuses photos et d'autres vidéos passionnantes.
Allez-y tout de suite!!!!!
C'est le blog Fogozanos d'Antonio Martínez Ron un journaliste et écrivain espagnol.
Consacré aux sciences et à l'environnement, on peut notamment y voir cette vidéo impressionnante:
ainsi que de nombreuses photos et d'autres vidéos passionnantes.
Allez-y tout de suite!!!!!
mercredi 14 novembre 2007
En Inde encore...
Un Indien qui croyait qu'il avait été maudit pour avoir lapidé à mort deux chiens a expié sa faute en épousant une chienne lors d'une cérémonie de mariage traditionnel hindou.
P. Selvakumar, un fermier âgé de 33 ans de l'État méridional du Tamil Nadu, a épousé une chienne errante âgée de quatre ans.
Les deux épous se sont unis lors d'une cérémonie dans un temple. La mariée était vétue d'un sari orange et les deux épous portaient des couronnes de fleurs au cou, indique le Daily Telegraph.

Le mariage a eu lieu sur les conseils de l'astrologue du paysan qui lui a dit que c'était la seule façon d'expier ses actions datant d'il y a plus de 20 ans.
Il aurait souffert d'une série de malaises physiques après la lapidation à mort des chiens.
"Mes mains et mes jambes ont été paralysées et j'ai perdu l'ouie dans une oreille", a déclaré M. Selvakumar après la cérémonie avec sa nouvelle "épouse", dont le nom est Selvi.
Une réception à laquelle assistaient quelque 200 personnes a été organisée dans la maison du marié pendant laquelle Selvi a pris peur et s'est enfuie.
Mais elle a ensuite été ratrappée et a été ramenée à son mari qui a lui donné du lait et un petit pain à manger.....
Ouf, on est rassurés!!!
P. Selvakumar, un fermier âgé de 33 ans de l'État méridional du Tamil Nadu, a épousé une chienne errante âgée de quatre ans.
Les deux épous se sont unis lors d'une cérémonie dans un temple. La mariée était vétue d'un sari orange et les deux épous portaient des couronnes de fleurs au cou, indique le Daily Telegraph.

Le mariage a eu lieu sur les conseils de l'astrologue du paysan qui lui a dit que c'était la seule façon d'expier ses actions datant d'il y a plus de 20 ans.
Il aurait souffert d'une série de malaises physiques après la lapidation à mort des chiens.
"Mes mains et mes jambes ont été paralysées et j'ai perdu l'ouie dans une oreille", a déclaré M. Selvakumar après la cérémonie avec sa nouvelle "épouse", dont le nom est Selvi.
Une réception à laquelle assistaient quelque 200 personnes a été organisée dans la maison du marié pendant laquelle Selvi a pris peur et s'est enfuie.
Mais elle a ensuite été ratrappée et a été ramenée à son mari qui a lui donné du lait et un petit pain à manger.....
Ouf, on est rassurés!!!
mardi 13 novembre 2007
Hanuman se fâche!!!!

La capitale indienne New Delhi est confrontée depuis quelques semaines à des attaques de hordes de singes sauvages qui ont déjà provoqué la mort du maire adjoint de la ville et fait des dizaines de blessés.
Le dernier incident remonte à lundi soir. Six personnes ont été mordues dans un quartier défavorisé de New Delhi, tandis qu'en plein centre de la capitale fédérale un singe a réussi à s'introduire dans la résidence de Priyanka Gandhi, la fille de Sonia Gandhi, présidente du parti du Congrès au pouvoir en Inde, selon le journal Indian Express.

Au cours du week-end dernier, une femme a été grièvement blessée et une vingtaine d'autres personnes ont été soignées dans l'est de Delhi pour des morsures de singes.
Fin octobre, le maire adjoint de New Delhi est mort des suites d'une chute provoquée par l'attaque de singes sauvages. S.S. Bajwa, 52 ans, était tombé de la terrasse de son domicile en tentant d'échapper aux animaux.
Pour lutter contre les primates, le ministère de la Défense a introduit une autre race particulièrement féroce, les langurs, dressés pour qu'ils attaquent les singes sauvages.

lundi 12 novembre 2007
dimanche 11 novembre 2007
Lisboa 2
samedi 10 novembre 2007
Lisboa
A Lisbonne, les vieilles boutiques, les vieilles enseignes, affirmation d'un refus de renier le passé à n'importe quel prix....
Le plaisir d'un (très bon) petit café (bica)

d'une boutique de mode surrannée...

d'un marchand de timbres dans une ruelle...

où la boutique d'un shipchandler qui invite au voyage sur les traces des découvreurs qui ont "donné de nouveaux mondes au monde"
Le plaisir d'un (très bon) petit café (bica)
d'une boutique de mode surrannée...
d'un marchand de timbres dans une ruelle...
où la boutique d'un shipchandler qui invite au voyage sur les traces des découvreurs qui ont "donné de nouveaux mondes au monde"
vendredi 9 novembre 2007
Petit
De retour de Lisbonne (des photos ce week-end...) je découvre avec quelques jours de retard que l'indemnité mensuelle nette du président de la République passera à 19 331 euros, soit une augmentation de 172 %. Des chiffres confirmés par l'Elysée.
Saisi de surprise je regarde dans les rues: rien ne bouge. Mes compatriotes ne sont pas en train d'élever des barricades.
En fait, rien de surprenant. Relisons L’Abécédaire des propositions de Nicolas Sarkozy publié pendant la campagne présidentielle.
On y lit en toutes lettres que "Le problème, c'est non seulement que les salaires sont trop bas, mais encore que la grille des salaires est écrasée avec beaucoup de Français dont les salaires ont été rattrapés par le Smic. C'est pourquoi ma politique sera une politique d'augmentation de tous les salaires, le Smic bien sûr, mais aussi les autres, pour sortir de cet égalitarisme qui dévalorise l'effort et le travail."
On ne peut pas dire qu'il ne nous avait pas prévenus....

En fait la seule qui doit vraiment se sentir flouée est cette pauvre Cécilia: sarko a bien pris soin d'attendre que le jugement de divorce soit prononcé avant de s'octroyer sa petite prime. Ainsi la pension alimentaire qu'il ne manquera pas de verser pour le petit Louis est calculée sur son ancien salaire de président-pauvre-et sous-payé-pour-ses-efforts-et-son-travail!!!!
Saisi de surprise je regarde dans les rues: rien ne bouge. Mes compatriotes ne sont pas en train d'élever des barricades.
En fait, rien de surprenant. Relisons L’Abécédaire des propositions de Nicolas Sarkozy publié pendant la campagne présidentielle.
On y lit en toutes lettres que "Le problème, c'est non seulement que les salaires sont trop bas, mais encore que la grille des salaires est écrasée avec beaucoup de Français dont les salaires ont été rattrapés par le Smic. C'est pourquoi ma politique sera une politique d'augmentation de tous les salaires, le Smic bien sûr, mais aussi les autres, pour sortir de cet égalitarisme qui dévalorise l'effort et le travail."
On ne peut pas dire qu'il ne nous avait pas prévenus....

En fait la seule qui doit vraiment se sentir flouée est cette pauvre Cécilia: sarko a bien pris soin d'attendre que le jugement de divorce soit prononcé avant de s'octroyer sa petite prime. Ainsi la pension alimentaire qu'il ne manquera pas de verser pour le petit Louis est calculée sur son ancien salaire de président-pauvre-et sous-payé-pour-ses-efforts-et-son-travail!!!!
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