mercredi 28 novembre 2007

Pinceau nouveau

Allez savoir pourquoi, cette invention me plait...





mardi 27 novembre 2007

Efficace....

Un moyen original de lutter contre la vitesse....

samedi 24 novembre 2007

petit jeu du samedi....





Ca s'appelle: Peignez vous-même comme Pollock!!!!

Cliquez sur votre souris pour changer de couleur....

murs murs

Petites pensées de week-end: comment mettre fin à la prolifération des murs?

Au moment de la "chute" du Mur de Berlin j'avais imaginé que cet évènement marquait la fin de ce genre d'ouvrage...




Mais depuis, nous avons pu assister à l'édification du "Mur de Palestine"




et du "Mur du Mexique".




Ce dernier, destiné à empêcher le passage des immigrants du sud aux Etats-Unis provoque l'inquiétude des écologistes, des élus locaux et des tribus indiennes qui estiment dire trop peu d'attention est accordée aux conséquences écologiques du mur. D'après eux, l'ouvrage va perturber l'habitat du jaguar, des hiboux pygmées et d'autre faune sensible. Le mur risque aussi d'encourager les immigrants illégaux à utiliser des passages dans des zones plus reculés, et plus fragiles écologiquement.


Tous ces passionnés des murailles seraient bien avisés de souvenir que les plus grands murs n'ont jamais réussi à empêcher les invasions des barbares.....


vendredi 23 novembre 2007

Bientôt???


Syndrome Angkor Wat....
Plus grand, c'est ICI

mercredi 21 novembre 2007

Chaud!

Nelson, tu as raison de t'inquiéter:

lundi 19 novembre 2007

Pour mes enfants, le discours du chef Seattle....

Voila. Je souhaite que mes enfants lisent cela. Une réponse que le Chef Seattle des tribus amérindiennes Suquamish et Duwamish prononça en 1854 pour répondre au gouverneur Isaac M. Stevens.




L'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères...

Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d'acheter notre terre.
Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu'il n'a pas grand besoin de notre amitié en retour.
Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l'homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre.


Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
Si nous ne sommes pas propriétaire de la fraîcheur de l'air, ni du miroitement de l'eau, comment pouvez-vous nous l'acheter ?
Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l'homme rouge. Les morts des hommes blancs, lorsqu'ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n'oublient jamais la beautée de cette terre, car elle est la mère de l'homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.
Les fleurs parfumées sont nos soeurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l'homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.
Ainsi, lorsqu'il nous demande d'acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. Le Grand Chef nous a assuré qu'il nous réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu'il serait notre père, et nous ses enfants.
Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre pour nous, est sacrée.



L'eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n'est pas de l'eau seulement; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vendonc notre terre, vous devez vous souvenir qu'elle est sacrée, et vous devrez l'enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l'eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix du père de mon père.
Les fleuves sont nos frères: ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont vos frères et les vôtres, et l'enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.
L'homme rouge a toujours reculé devant l'homme blanc, comme la brume des montagnes s'enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte, ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui un lopin de terre en vaut un autre, car il est l'étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. La sol n'est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l'a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s'en soucie pas. Les tombes de ses pères et le patrimoine de ses enfants sont oubliés. Il traite la terre, sa mère, et le ciel, son frère, comme des objets qu'on achète, qu'on pille, qu'on vend, comme des moutons ou des perles brillantes. Son appétit va engloutir la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.
Je ne sais. Nos voies diffèrent de vos voies. La vue de vos villes blessent les yeux de l'homme rouge. Peut-être parce que l'homme rouge est un sauvage qui ne comprends pas.
Il n'y a pas de lieu calme dans les villes de l'homme blanc, pas de place où entendre les feuilles qui se déroulent, au printemps, ou le bruissement des ailes d'insectes. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage qui ne comprend pas. Le fracas qui règne seul insulte l'oreille. Et à quoi bon vivre, si l'homme ne peut écouter le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour de la mare ? Je suis un homme rouge, et je ne comprends pas. L'Indien préfère le doux bruit du vent effleurant la surface d'un étang, et le parfum du vent, lavé par la pluie de midi ou chargé de la senteur des pins.
L'air est précieux à l'homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle; les bêtes, les arbres, l'homme, tous participent au même souffle. L'homme blanc paraît indifférent à l'air qu'il respire. Comme un homme à l'agonie depuis des jours, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vendons notre terre, vous devez vous souvenir que l'air nous est précieux, qu'à tous les êtres qu'il fait vivre il fait partager son esprit. Le vent qui a donné son premier souffle à notre aïeul reçoit aussi son dernier soupir. Et le vent doit aussi donner à nos enfants l'esprit de la vie. Si nous vendons notre terre, vous devez la conserver comme un lieu à part et sacré, où l'homme blanc lui-même puisse goûter la douceur du vent parfumé par les fleurs des prairies.




Nous allons donc considérer votre offre d'acheter notre terre. Si nous décidons de l'accepter, ce sera à une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
Je suis un sauvage et ne comprends pas les autres usages. J'ai vu mille buffles pourrir sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train en marche. Je suis un sauvage qui ne comprends pas que le cheval de fer fumant puisse être plus important que le buffle, lui que nous tuons que pour rester en vie.
Qu'est l'homme sans les bêtes? Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait de grande solitude de l'esprit. Car tout ce qui arrive aux bêtes ne tarde pas à arriver à l'homme. Toutes choses sont liées. Vous devez enseigner à vos enfants sur la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu'ils la respectent, dites à vos enfant que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes.
Nous le savons: la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Nous le savons: toutes choses sont liées comme par le sang qui unit une même famille.
Toutes choses sont liées.
Tout ce qui arrive à la terre arrive au fils de la terre. L'homme n'a pas tissé la toile de la vie. Il n'est qu'un fil de tissu. Tout ce qu'il fait à la toile, il le fait à lui-même.
Mais nous allons considérer votre offre d'aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l'écart et en paix. Qu'importe où nous passerons le restant de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leurs corps de nourritures douces et de boissons fortes.
Qu'importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d'un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d'espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d'hommes pas davantage. Les hommes viennent et s'en vont, comme les vagues de la mer.
Même l'homme blanc, dont Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout; nous verrons. Mais nous savons une chose que l'homme blanc découvrira peut-être un jour: notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd'hui que vous le posséder comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l'homme rouge et pour l'homme blanc.
La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les Blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets.
Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance de Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l'homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère; nous ne comprenons pas, lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l'odeur d'hommes nombreux, l'aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.
Où est le fourré . Disparu. Où est l'aigle ? Il n'est plus. Qu'est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C'est finir de vivre et se mettre à survivre.

Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu'il est au moment où vous le prenez. Et de toute vos forces, de toute votre pensée, de tout votre coeur, préservez-le pour vos enfants, et aimez-le comme Dieu nous aime tous.
Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d'acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l'ombre d'un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du coeur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l'avons aimée. Prenez soin d'elle comme nous en avons pris soin.
Nous savons une choses: notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L'homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être somme-nous tous frères.
Nous verrons.

jeudi 15 novembre 2007

Superbe

Découverte par hasard, une page d'un blog consacré aux baleines

C'est le blog Fogozanos d'Antonio Martínez Ron un journaliste et écrivain espagnol.

Consacré aux sciences et à l'environnement, on peut notamment y voir cette vidéo impressionnante:



ainsi que de nombreuses photos et d'autres vidéos passionnantes.

Allez-y tout de suite!!!!!

mercredi 14 novembre 2007

En Inde encore...

Un Indien qui croyait qu'il avait été maudit pour avoir lapidé à mort deux chiens a expié sa faute en épousant une chienne lors d'une cérémonie de mariage traditionnel hindou.

P. Selvakumar, un fermier âgé de 33 ans de l'État méridional du Tamil Nadu, a épousé une chienne errante âgée de quatre ans.

Les deux épous se sont unis lors d'une cérémonie dans un temple. La mariée était vétue d'un sari orange et les deux épous portaient des couronnes de fleurs au cou, indique le Daily Telegraph.




Le mariage a eu lieu sur les conseils de l'astrologue du paysan qui lui a dit que c'était la seule façon d'expier ses actions datant d'il y a plus de 20 ans.

Il aurait souffert d'une série de malaises physiques après la lapidation à mort des chiens.

"Mes mains et mes jambes ont été paralysées et j'ai perdu l'ouie dans une oreille", a déclaré M. Selvakumar après la cérémonie avec sa nouvelle "épouse", dont le nom est Selvi.

Une réception à laquelle assistaient quelque 200 personnes a été organisée dans la maison du marié pendant laquelle Selvi a pris peur et s'est enfuie.

Mais elle a ensuite été ratrappée et a été ramenée à son mari qui a lui donné du lait et un petit pain à manger.....

Ouf, on est rassurés!!!

mardi 13 novembre 2007

Hanuman se fâche!!!!


La capitale indienne New Delhi est confrontée depuis quelques semaines à des attaques de hordes de singes sauvages qui ont déjà provoqué la mort du maire adjoint de la ville et fait des dizaines de blessés.
Le dernier incident remonte à lundi soir. Six personnes ont été mordues dans un quartier défavorisé de New Delhi, tandis qu'en plein centre de la capitale fédérale un singe a réussi à s'introduire dans la résidence de Priyanka Gandhi, la fille de Sonia Gandhi, présidente du parti du Congrès au pouvoir en Inde, selon le journal Indian Express.



Au cours du week-end dernier, une femme a été grièvement blessée et une vingtaine d'autres personnes ont été soignées dans l'est de Delhi pour des morsures de singes.
Fin octobre, le maire adjoint de New Delhi est mort des suites d'une chute provoquée par l'attaque de singes sauvages. S.S. Bajwa, 52 ans, était tombé de la terrasse de son domicile en tentant d'échapper aux animaux.
Pour lutter contre les primates, le ministère de la Défense a introduit une autre race particulièrement féroce, les langurs, dressés pour qu'ils attaquent les singes sauvages.

lundi 12 novembre 2007

Beware of the lady

Si vous la rencontrez cette semaine, méfiez-vous d'Aneta Florczyk


dimanche 11 novembre 2007

Lisboa 2

Mais Lisbonne est aussi une ville moderne....

IMG_4287.JPG

où les tags fleurissent

IMG_4242.JPG

même sur les célèbres azulejos

IMG_4256.JPG

et ne manquent pas d'humour...

IMG_4258.JPG

et parfois la France en fait les frais.....

IMG_4257.JPG

samedi 10 novembre 2007

Egg city

Si vous vous ennuyez ce weekend, tentez de faire mieux!!!!





sans faire d'omelette...

Lisboa

A Lisbonne, les vieilles boutiques, les vieilles enseignes, affirmation d'un refus de renier le passé à n'importe quel prix....

Le plaisir d'un (très bon) petit café (bica)




d'une boutique de mode surrannée...



d'un marchand de timbres dans une ruelle...



où la boutique d'un shipchandler qui invite au voyage sur les traces des découvreurs qui ont "donné de nouveaux mondes au monde"


vendredi 9 novembre 2007

Petit

De retour de Lisbonne (des photos ce week-end...) je découvre avec quelques jours de retard que l'indemnité mensuelle nette du président de la République passera à 19 331 euros, soit une augmentation de 172 %. Des chiffres confirmés par l'Elysée.

Saisi de surprise je regarde dans les rues: rien ne bouge. Mes compatriotes ne sont pas en train d'élever des barricades.

En fait, rien de surprenant. Relisons L’Abécédaire des propositions de Nicolas Sarkozy publié pendant la campagne présidentielle.

On y lit en toutes lettres que "Le problème, c'est non seulement que les salaires sont trop bas, mais encore que la grille des salaires est écrasée avec beaucoup de Français dont les salaires ont été rattrapés par le Smic. C'est pourquoi ma politique sera une politique d'augmentation de tous les salaires, le Smic bien sûr, mais aussi les autres, pour sortir de cet égalitarisme qui dévalorise l'effort et le travail."

On ne peut pas dire qu'il ne nous avait pas prévenus....



En fait la seule qui doit vraiment se sentir flouée est cette pauvre Cécilia: sarko a bien pris soin d'attendre que le jugement de divorce soit prononcé avant de s'octroyer sa petite prime. Ainsi la pension alimentaire qu'il ne manquera pas de verser pour le petit Louis est calculée sur son ancien salaire de président-pauvre-et sous-payé-pour-ses-efforts-et-son-travail!!!!